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L’impact des nouvelles technologies sur l’habitat

03.03.2023
par Maévane Mas

Dans le climat socio-économique mondial actuel, le marché de la construction immobilière est confronté à des défis d’envergure. Les développeurs et promoteurs doivent plus que jamais être capables de proposer des logements attractifs et confortables tout en apportant efficacité énergétique, durabilité et sécurité. L’appel à l’innovation et à la technologie est dès lors inévitable pour construire des bâtiments intelligents et efficaces. 

Julien Descollaz
Directeur général

SmartHome a plus de 20 ans d’histoire et 17 ans d’expérience dans le domaine de l’intégration domotique et multimédia sur le marché du résidentiel exclusif. C’est aujourd’hui une équipe de passionnés qui a une vision commune et un objectif audacieux, celui de démocratiser et standardiser des technologies responsables qui apportent des réponses aux exigences de durabilité dans le bâtiment.

Des technologies qui permettent de réduire la consommation énergétique des bâtiments

Selon le rapport de l’ONU « The Global Status Report for Buildings and Construction » paru en 2020, le secteur du bâtiment est responsable de 38 % des émissions de gaz à effet de serre. Nous pouvons ajouter à cela les récents évènements géopolitiques qui ont mis en lumière notre dépendance énergétique en provoquant diverses pénuries.

Mais avant de parler de réduction, il faut commencer par s’attaquer au gaspillage. Pour cela, le résidant doit pouvoir visualiser sa consommation, l’analyser, puis agir en conséquence. La solution de SmartHome permet une lecture précise de ses dépenses en électricité, en chauffage, en eau chaude et en eau froide. Grâce à l’historique, l’habitant peut alors voir si ses actions, telles que la réduction de la température de son chauffage ou l’extinction des appareils en veille, sont payantes. Ensuite, pour aller plus loin, SmartHome a mis en place un partenariat technologique avec l’entreprise Schneider Electric pour optimiser la production de chaleur et rendre les bâtiments plus efficients.

Télétravail et redéfinition de l’espace d’habitation

L’évolution du télétravail s’est produite bien avant la récente crise sanitaire. Cette dernière a cependant déclenché une vague de sensibilisation et de nouvelles exigences sont apparues en matière de santé dans les espaces de travail. Dans le sillage de la réduction de la consommation d’énergie et au vu de la hausse du télétravail, il faut offrir des logements plus sains pour des employés toujours plus productifs, même à la maison.

La solution de SmartHome permet ainsi de répondre aux nouvelles exigences de l’espace d’habitation. En tant que superviseur domotique et immotique, l’écran Amika va pouvoir piloter les divers éléments contrôlables du logement comme les stores, le chauffage, l’éclairage ou encore les prises commandées à travers différents protocoles et marques de produits. Par exemple, Amika est compatible avec la gamme de produits Wiser de la marque Feller AG avec laquelle SmartHome a établi un partenariat technologique. L’écosystème ainsi créé permet d’offrir aux promoteurs, et par extension aux résidants, la solution la plus complète et versatile du marché. Il est alors possible de gérer les ambiances lumineuses et d’enclencher les scénarios les plus adaptés en fonction des conditions atmosphériques ou de l’état de santé du résidant. Celui-ci peut également répondre à l’interphone directement sur l’Amika ou depuis l’extérieur grâce à l’application mobile smarthome ECO. Il reçoit ainsi les appels sur son smartphone et peut s’assurer que les stores sont bien fermés, les lumières éteintes, etc. Qu’il soit au bureau ou chez lui, le résidant garde le contrôle total de son logement.

 

 

Bâtiment intelligent versus sécurité des données

De manière générale, les appareils connectés à internet ou encore IoT (« Internet of Things ») souffrent d’une image de plus en plus négative en termes de sécurité des données. S’il existe des lacunes en matière de sécurité, il est clair que les risques d’attaque ou de rançongiciels à but lucratif augmentent. À cela s’ajoute la question éthique dans le traitement et la monétisation des données des consommateurs. 

Les serveurs de SmartHome sont hébergés en Suisse et sont conformes au Règlement général sur la protection des données (RGPD). Aussi, l’ensemble de l’architecture de la solution de SmartHome a été auditée par une entreprise indépendante genevoise qui œuvre depuis plus de dix ans dans la cybersécurité. Enfin, SmartHome refuse que ses utilisateurs soient des « produits » et en cela, refuse de commercialiser des données personnelles, ce qui va plutôt à l’encontre des tendances actuelles. Pour aller plus loin, l’entreprise a même pensé cette solution pour que les clients puissent l’utiliser sans avoir besoin de créer un compte. Les seules données qui transitent sur les serveurs sécurisés sont utilisées à des fins d’optimisation énergétique ou d’amélioration de l’expérience de l’utilisateur, sans aucune possibilité d’identifier un individu.

Optimisation des coûts de construction et d’exploitation

Les tendances inflationnistes qui se dessinent actuellement aux États-Unis et dans la zone euro montrent que l’ère des taux d’intérêt très bas touche à sa fin. Cela est à prendre en considération lors de l’élaboration d’un projet qui se doit en plus d’être confortable, efficient, intelligent, sécurisé, etc.

Choisir les produits de la marque SmartHome, c’est la garantie d’avoir un bâtiment qui répond aux exigences du marché et ce, sur le long terme car la solution est flexible, évolutive et ouverte. Les partenariats technologiques avec Feller AG et Schneider Electric en sont la preuve. 

Financièrement, en prenant en référence la surface moyenne et le coût de construction moyen d’un logement en Suisse qui sont respectivement de 102,4m² et de CHF 3’200.-/m², cette solution ne représente finalement que 0,2 % du budget. Au vu des bénéfices que cela apporte au projet, le retour sur investissement est quasi immédiat. Un autre point à prendre en considération est le fait que les appareils ne viennent pas s’ajouter au bâtiment, mais ils remplacent des équipements déjà présents dans le cahier des charges d’un projet d’immeuble, à savoir l’interphone dans chaque logement (remplacé par l’écran Amika) et le concentrateur énergétique dans le local chaufferie (remplacé par l’interface Energio).

Il y a plusieurs intérêts à cela, le premier étant un intérêt économique en considérant des moins-values qui réduisent le coût réel de la solution, et le fait que les produits soient conçus pour être installés par un électricien. En général, les sociétés qui fabriquent leur solution sont également les seules à pouvoir en faire la mise en service. Mais par définition, cela augmente fortement les coûts et la complexité du projet. Le second intérêt est écologique car mutualiser des fonctionnalités à des types d’appareils existants permet d’éviter de surenchérir l’offre en créant de nouveaux appareils. Concernant les frais d’exploitation, il n’y a pas de surcoût puisque justement, aucun équipement supplémentaire n’est ajouté. Ils sont même réduits car l’exploitant a librement accès au cockpit qui est une plateforme en ligne, et il peut ainsi télécharger les données de consommations individuelles pour établir les décomptes de charges. Quant à l’installateur, sur ce même cockpit, il a les alertes afin de pouvoir faire de la maintenance préventive.

Pour plus d’informations: www.smarthomeswiss.com

 

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